(Brazzaville, Paris – 12 avril 2017) Un an après les premiers bombardements dans la zone du Pool au sud de la capitale Brazzaville, le département considéré comme rebelle demeure fermé à tout observateur extérieur et les autorités congolaises ainsi que des groupes armés non identifiés s’y livreraient à des violations massives des droits humains : bombardement de civils, éviction forcée des populations, arrestations arbitraires et actes de torture et traitements inhumains. La FIDH et l’OCDH, qui publient ce jour une note sur la grave détérioration de la situation des droits humains au Congo-Brazzaville, sont également préoccupées par la vague d’arrestations et de détentions arbitraires qui a précédé et suivi l’élection présidentielle de mars 2016 et qui se solde par un nombre record de détenus politiques.
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Note_position_Repression-a-huis-clos_12avril2017_FINAL